Les "3 C" et les "3 G" qui ont justifié la colonisation occidentale en Afrique:
Les "3 C": Gold, God and Glory (Colinier pour amasser de l'Or, pour le compte de Dieu et et pour la Gloire de la race blanche).
Les "3 G" : Civilization, Christianity and Commerce (coloniser pour y apporter la civilisation, le christianisme et faire le commerce, y compris des êtres humais).
L'histoire du Congo nous renseigne que tous les credos étrangers (l'Islamisme et l'arabisme de Tippu-Tip, le Chrsitianisme (protestantisme et catholicisme) de Léopolld II ont détruit le Congo! Il faut s'en debarrraser ! L'histoire a donné raison à Simon Kimbangu.
Et maintenant le soldat pakistanais de la MONUSCO répandent l'islamisme à l'est du Congo en contre partie des billets verts pour les adhérants!
LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE FERME LES YEUX SUR L’ISLAMISME MONTANT A L’EST DE LA RDC
Depuis 12 ans, des jihadistes opèrent à l’Est où ils recrutent et forment des jeunes sous les regards indifférents de la Monusco dont des casques bleus du contingent pakistanais construisent des mosquées dans des villages et proposent des bourses aux jeunes, filles comme garçon, sous prétexte d’obscures formations à l’étranger, alors que tout se faire dans le massif du Ruwenzori.
Depuis quelques semaines, des informations concordantes font état du recrutement, au Nord Kivu et au Sud Kivu de jeunes issus des familles musulmanes qui suivent des formations sur le maniement des armes et sont initiés à la foi islamique. Ces recrutements sont l’œuvre des EDF-NALU agissant pour le compte de la Muslim Defense International (MDI) qui est implantée dans le Nord Kivu. Des sources crédibles citent également des casques bleus du contingent pakistanais dans ce recrutement. Ces soldats onusiens construisent des mosquées dans le Congo profond tout en se livrant au prosélytisme et en proposant des bourses aux jeunes pour d’obscures formations à l’étranger. Les formations sont assurées dans le massif du Graben vers la frontière avec l’Ouganda où d’autres jeunes ougandais, rwandais, kényans et même nigérians se sont aussi rendus avant de retourner dans leurs pays respectifs.
Le quartier général des ADF/MDI est situé à Medina, dans les falaises du Ruwenzori.
D’autres sources citent les meneurs de ces opérations qui se sont installés à l’Est. Il s’agit, par exemple, d’un nommé Moussa Tchadien, frère de Hussein Habré, ancien Président tchadien actuellement en exil au Sénégal. Se livrant officiellement à l’achat des minerais, il tient des réunions les dimanches dans des mosquées à l’intention des jeunes, filles comme garçons, de 25 à 30 ans. Les enseignements sur le jihad y sont assurés par un nommé Abudjihadi Moussa qui apprend son auditoire à être déçu « des gouvernements dirigés par des chrétiens qui accentuent la pauvreté et la misère, et veulent installer leur propre gouvernement ». Dans ces enseignements, ils affirment aussi que « les vendredis doivent devenir fériés et non plus le dimanche. L’islam doit devenir la religion d’Etat. » Bref, il s’agit d’enseignements sur ma notion de l’ennemi à combattre et sur la sharia.
En dehors de Beni, Lubero et autres sites, les recrutements des jeunes se font à Goma dans les mosquées des quartiers Katindo et Ndosho, sous le contrôle des nommés Shahibu et Sadi Suède Kenyatta. Pour attirer encore plus d’adhérants, des représentants des islamistes ont investi des universités où ils séduisent les étudiants en leur achetant des syllabus. Les fonds, pour ce faire, viendraient de la Turquie et sont gérés par Moussa Tchadien et Cheik Muzamini qui ont aussi créé une école coranique.
Des sources dignes de foi renseignent que ces activités ont démarré en 2003 pour devenir un véritable groupe armé en 2009. 12 années se sont donc écoulées et personne, à part les autorités provinciales, ne semble s’en être aperçu. La société civile de l’Est pointe particulièrement du doigt la Monusco « qui dispose de toutes ces informations depuis des lustres, mais y ferme les yeux ». Normal, commente un activiste de la même société civile lorsqu’il sait que des casques bleus pakistanais sont trempés dans cette cabale.
Que dira-t-on demain lorsque ce qui paraît encore aujourd’hui comme une menace se transformera en machine active de la mort ? Que fera, en ce moment-là, la communauté internationale qui, déjà, traine les pieds chaque fois qu’il s’agit de débarrasser l’Est du pays des groupes armés aussi bien nationaux qu’étrangers ? Pourquoi la Monusco ne produit-elle aucun rapport sur cette menace, sinon des allégations et autres procès d’intention contre des officiers congolais dits « susceptibles » de commettre de « graves violations des droits de l’homme » ?
En somme, qu’aura, finalement, été l’apport de l’ONU dans la recherche de la paix en RDC depuis plus de 15 ans ?
Yvon RAMAZANI
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