A partir des idées de mes héros, Patrice Emery Lumumba et Laurent Désiré Kabila, je suis l'actualité politique de mon pays, la République Démocratique du Congo en partuclier et de l'Afrique en général et je donne mes commentaires. Antoine Roger Lokongo
Au fur et à mesure que le soutien international se renforçait à l’égard de la juste politique antinucléaire pour la paix de la Corée du Nord et de ses efforts sincères, les Etats-Unis ont déclaré, au début des années 1990, qu’ils avaient évacué des armes nucléaire de Corée du Sud. Toutefois, même après cela, ils n’ont pas cessé de recourir à la menace et au chantage nucléaires en mobilisant toutes sortes de moyens faisant partie de leur actif nucléaire.
Ce sont donc la menace et le chantage nucléaires incessants des Etats-Unis et leur scélérate politique d’hostilité à l'égard de la Corée du Nord qui ont poussé Pyongyang (l'Iran aussi) à retirer du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) en 2003 et à se doter d’une force nucléaire auto-défensive et à l’accroître (voir déclaration porte-parole de l’institut des Etats-Unis du Ministère des Affaires Étrangères de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC) du 15.08.2017).
Le ministre des Affaires étrangères de la Corée du Nord, Ri Yong Ho, a comparé aujourd'hui l'allocution de Donald Trump à la tribune des Nations unies mardi au "bruit d'un chien qui aboie", balayant ses menaces de "destruction totale" du pays.
"Il y a un proverbe qui dit: 'Le chien aboie, la caravane passe'", a estimé Ri Yong Ho devant des journalistes, à proximité du siège des Nations unies à New York. "Si (Trump) pensait nous surprendre avec des bruits d'aboiements, il est clairement en train de rêver", a-t-il ajouté.
Interrogé sur le terme de "rocket-man" utilisé par Trump pour qualifier le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, le chef de la diplomatie nord-coréenne, qui interviendra devant les Nations unies demain, s'est dit "désolé pour ses conseillers".
Ces commentaires représentent la première réaction officielle de la Corée du Nord au discours belliqueux prononcé mardi par Donald Trump aux Nations unies. "Les Etats-Unis ont une grande force et une grande patience, mais, s'ils sont contraints de se défendre, nous n'aurons pas d'autre choix que de détruire totalement la Corée du Nord", avait-t-il déclaré.