Francis inherits Benedict's struggle to clean up the secretive institution, which has been plagued by suspicion of money laundering.
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Par Antoine Roger Lokongo, le Soldat du Peuple engagé dans la bataille des idées pour un Congo meilleur et parténaire clé de la Chine, un pays sous-developé, qui, en un lapse de temps, a changé son destin en comptant sur ses propres efforts et devenu une puissance.
Les opposants Congolais qualifient Joseph Kabila d'un Rwandais, "Kanambe" de son vrai nom. Or le M23 avec qui les opposants Congolais pactisent est 100% Rwandais! Et donc J. Kabila n'est pas Rwandais!
http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2012/12/30/pourquoi-il-sera-difficile-de-sauver-le-soldat-bozize/
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Indignée, l’Union Africaine a suspendu la Centrafrique, et refusé de reconnaître le nouveau pouvoir, dirigé par l’un des chefs de la coalition rebelle, Michel Djotodia. C’est que, en dépit de
deux cycles électoraux et de dix années d’une stabilité apparente, l’histoire se répète : le président François Bozizé, qui avait lui-même pris le pouvoir voici dix ans avec le soutien des
forces tchadiennes, a été chassé du pouvoir par une coalition, la Seleka, dont on ne connaît pas encore tous les contours mais qui, cette fois, n’a pas rencontré sur sa route de militaires
tchadiens, ces derniers étant actuellement mobilisés au Mali où ils épaulent les forces françaises. Seule l’armée sud africaine a tenté, jusqu’au bout, de protéger le président sortant, mais
cet engagement a été payé au prix fort : treize soldats ont été tués, en plus de nombreux blessés.
Cette prise de pouvoir par la Seleka (un terme qui signifie alliance, en sango) a des aspects connus : les troupes rebelles se sont emparées de la capitale et des pillages ont éclaté, le
président sortant aurait fui en direction de la République démocratique du Congo (seul le fleuve Oubangui sépare Bangui de la province congolaise de l’Equateur et de Gbadolite, ancien
sanctuaire du président Mobutu). Quant aux rebelles de la Seleka, ils s’inspirent, avec plus de succès, des revendications présentées par le M23, qui a implosé au Congo Kinshasa. En effet,
l’entrée en guerre de la coalition rebelle a été motivée, au départ, par le non respect des accords de paix signés en 2007. Ces accords prévoyaient, sur le même modèle qu’en RDC, la réinsertion
et l’indemnisation des combattants rebelles. Par la suite, alors qu’en décembre dernier déjà, les rebelles menaçaient de s’emparer de Bangui, des accords furent signés à Libreville, avec la
médiation de la Communauté des Etats d’Afrique centrale. Ils prévoyaient la mise sur pied d’un gouvernement d’union nationale, la libération des prisonniers politiques et le départ des troupes
sud africaines qui avaient prêté main forte au président Bozize. Selon la Seleka ces accords ne furent pas appliqués, ce qui a justifié l’offensive actuelle.
Tout n’est cependant pas répétition : la rapidité et l’efficacité des rebelle ont surpris ainsi que la relativement bonne tenue des combattants. Selon des observateurs, les membres de la
coalition, relativement bien armés et disciplinés, seraient descendus de la frontière soudanaise et en particulier de la province du Darfour où sont déployés des casques bleus de différentes
nationalités dont un contingent rwandais, très apprécié.
La situation en Centrafrique est suivie de très près à Kinshasa, car le président François Bozizé était un allié du président Kabila. On se souvient en effet que, voici dix ans, lorsque cet
ancien général était arrivé au pouvoir par les armes, il avait chassé son adversaire Ange-Félix Patassé avec le soutien de l’armée tchadienne. Patassé à l’époque, bénéficiait aussi du soutien
de Jean-Pierre Bemba, dont les troupes, qui campaient à Gbadolite, avaient traversé le fleuve pour se porter au secours du régime. C’est d’ailleurs le comportement des soldats du MLC (Mouvement
pour la libération du Congo) qui vaut à Jean-Pierre Bemba d’être toujours détenu par la Cour pénale internationale : alors que le principal challenger du président Kabila se trouvait à cette
époque en train de négocier à Sun City, en Afrique du Sud, il avait été tenu pour responsable du comportement de ses troupes qui, à Bangui, placées sous commandement centrafricain, s’étaient
livrées à des viols et des pillages. A l’époque, l’opposition congolaise dénonça le « service » que François Bozizé, après son arrivée au pouvoir, avait rendu à son voisin Kabila, en permettant
l’inculpation de Jean-Pierre Bemba.
Autre signe des temps : le changement de pouvoir actuel a eu lieu sans qu’intervienne la France, ancienne puissance coloniale. Une telle passivité eut été impensable jadis, où la Centrafrique
était considérée comme un « porte avions » de la France : située aux confins du Tchad, qui entretenait des relations troubles avec la Libye de Kadhafi, voisine des deux Congo et du Cameroun,
ouverte sur le soudan et de là sur l’Afrique de l’Est, la Centrafrique, qui ne manque cependant pas de ressources naturelles, (or et diamants entre autres) valait surtout pour sa situation
stratégique et la France avait installé deux bases militaires dans le pays, l’une dans la capitale, l’autre à Bouar, tournée vers le Tchad et rendant possible les interventions régionales.
Cette importance stratégique de la Centrafrique avait justifié, à l’époque du président Giscard d’Estaing, l’un des épisodes les moins glorieux de la « Françafrique » : le sacre, en 1977, de l’
« empereur » Jean Bedel Bokassa, un ancien caporal qui avait servi dans les forces françaises en Indochine et en Algérie. A l’époque, un ministre français, Robert Galley, assista au sacre de
l’empereur et de l’impératrice Catherine, accompagné d’une palanquée d’hommes d’affaires. Deux ans plus tard cependant l’empereur, devenu gênant fut renversé et finit ses jours dans son château
d’Hardicourt en France.
De telles complaisances semblent appartenir au passé : la France a fermé la base de Bouar pour ne garder que 250 hommes à Bangui (même si des renforts viennent d’être envoyés) et le président
Hollande a déclaré que « si nous sommes présents, ce n’est pas pour protéger un régime, c’est pour protéger nos ressortissants et nos intérêts. Et en aucune façon pour intervenir dans les
affaires intérieures d’un pays. Ce temps là est terminé. »
Au-delà de cette volonté de non ingérence et de ce changement de politique, François Bozize, qui avait cependant été élu deux fois après sa prise de pouvoir mais s’était lui aussi illustré par
la corruption de son régime, a aussi été une victime collatérale de l’intervention française au Mali, qui mobilise toutes les forces disponibles. Quant à ses alliés africains, l’Afrique du Sud
et, plus discrètement, le Congo Kinshasa, ils se sont avérés impuissants à enrayer l’avancée des rebelles qui, sur le plan militaire tout au moins, avaient peut-être bénéficié des conseils des
stratèges du M23…
30.12.2012
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En position de force, les rebelles centrafricains demandent désormais le départ du président François Bozizé et n’excluent plus de s’emparer de Bangui. Dans la capitale, les habitants, terrés
chez eux, espèrent que le président de l’Union africaine, M. Boni Yayi, arrivé sur les lieux, réussira à instaurer un dialogue entre le président et les rebelles du Séléka, une coalition de
mouvements d’opposition, essentiellement issus du Nord du pays. Alors qu’ils ont plutôt la réputation de recruter des enfants-soldats et des « coupeurs de route », -ces bandes armées qui
entretiennent l’insécurité dans la région-, les hommes du Séléka se sont mesurés avec beaucoup de professionnalisme et de pugnacité à des forces gouvernementales faibles. En outre, alors
qu’en 2003, le président Bozizé avait conquis le pouvoir avec l’appui de forces tchadiennes et l’assentiment de la France, il n’a pu, cette fois, compter ni sur le soutien du président du
Tchad, Idriss Deby ni sur celui de la France. Même si Paris a envoyé une centaine d’hommes en renfort, c’est en précisant qu’ils avaient pour seule mission de protéger les quelque 120
ressortissants français sur place.
Ancien directeur de Jeune Afrique, le journaliste et politologue Jean-Louis Gouraud connaît bien la Centrafrique et il estime que le président François Bozizé « n’a jamais eu réellement sa
chance » : « lorsqu’il est arrivé au pouvoir en 2003, il a trouvé un pays ruiné par les régimes précédents, l’ « empereur » Bokassa, le général Kolingba, son précédesseur Ange-Félix Patassé,
ce dernier ayant été défendu par les milices de Jean-Pierre Bemba et soutenu par le colonel Kadhafi. Alors que les caisses étaient vides, que fonctionnaires et militaires n’avaient plus été
payés depuis des années, les Européens, Français et Belges en tête, exigeaient, avant tout soutien budgétaire, l’organisation d’élections générales.
Bozizé a alors remporté deux scrutins successifs, il a négocié avec les groupes armés mais il a aussi demandé l’aide de la Chine, qui lui a consenti certains crédits. IL fut alors soupçonné
de vouloir confier à la Chine l’exploitation des mines d’uranium, alors que la société française Areva, très présente sur le dossier, estimait que la demande mondiale n’était pas suffisante
pour réaliser des investissements en Centrafrique. »
En dépit des circonstances atténuantes, Gouraud reconnaît les échecs du régime : « faute de moyens, l’administration n’a jamais été réellement remise en route, le bois tropical a continué à
être exporté illégalement via le Cameroun, le diamant sort toujours en fraude. Et les hommes de l’Ougandais Joseph Kony, chef de l’Armée de libération du Seigneur, opèrent sans être
inquiétés… » Avec réalisme, l’analyste français assure que : «même si le président a été élu par deux fois, et que l’arrivée à Bangui des rebelles risque de se traduire par la pagaille sinon
par un bain de sang, la France n’est pas disposée à s’engager pour « sauver le soldat Bozizé ». La Centrafrique, ce n’est pas la Côte d’Ivoire, il y a moins d’intérêts en jeu… »
C’est au Congo Kinshasa, de l’autre côté du fleuve Oubangui, que l’évolution de la situation est suivie avec le plus d’intérêt. L’opposition congolaise accuse le président Kabila d’avoir
envoyé à Bangui des éléments de la garde présidentielle. Gouraud rappelle que « avant 2001 déjà, Bozizé, opposant à Patassé, avait bénéficié de l’appui de Laurent-Désiré Kabila, il a ensuite
été soutenu par son fils Joseph car il s’opposait aux hommes de Jean-Pierre Bemba… »
Si Bangui tombait aujourd’hui aux mains de rebelles étrangement bien armés et bien organisés, dont les revendications ressemblent à s’y méprendre à celles du M23 (respect de différents
accords de paix) Kinshasa, via le fleuve, pourrait être prise à revers par des éléments hostiles.
http://finance.yahoo.com/news/banro-provides-notice-end-2012-090000311.html;_ylt=AwrNUbBeQFBRnC0AlzTQtDMD
TORONTO, ONTARIO--(Marketwire - Mar 25, 2013) -Banro Corporation ("Banro" or the "Company") (BAA.TO)(NYSE MKT:BAA)(NYSE Amex:BAA) intends to announce its year end 2012 financial results on Wednesday March 27, 2013 and follow with a conference call at 11:00am EST that same day.
2012 Financial Results Conference Call Information
2012 Financial Results Conference Call REPLAY
The conference call will replay will be available from 2:00pm EST on Wednesday March 27, 2013 until 11:59pm EST on Wednesday April 10, 2013.
For further information regarding this conference call, please contact Banro Investor Relations or visit the Company website,www.banro.com.
Banro Corporationis a Canadian gold mining company focused on production from the Twangiza oxide mine and development of three additional major, wholly-owned gold projects, each with mining licenses, along the 210 kilometre long Twangiza-Namoya gold belt in the South Kivu and Maniema provinces of the Democratic Republic of the Congo. Led by a proven management team with extensive gold and African experience, Banro's plans include the construction of its second gold mine at Namoya, at the south end of this gold belt, as well as the development of two other projects, Lugushwa and Kamituga, in the central portion of the belt. The initial focus of the Company is on oxides, which have a low capital intensity to develop but also attract a lower technical and financial risk to the Company and as such maximize the return on capital and limits the dilution to shareholders as the Company develops this prospective gold belt. All business activities are followed in a socially and environmentally responsible manner.
For further information, please visit our website atwww.banro.com.
Symbol | Price | Change |
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BAA.TO | 2.05 | 0.02 |
Toll Free (North America): | +1-866-226-1792 | |
Toronto Local & International: | +1-416-340-2216 | |
Toll Free Replay Call (North America): | +1-800-408-3053 | Passcode 1896273 |
Toronto Local & International: | +1-905-694-9451 | Passcode 1896273 |
RDC: La nouvelle brigade est susceptible d'être approuvée par le Conseil de sécurité dans les prochaines semaines.
The new brigade is likely to be approved by the Security Council within the next few weeks
Le rêve américain est en train de mourir, s'il n'est pas déjà mort. The America dream is dying if it is not dead already!
This Is A Must Watch Video Class War Films
"Liberty cannot be preserved without a general knowledge among the
people" - John Adams - Second President - 1797 - 1801
Now is the first day of a new beginning.
L'Eglise Catholique ou l'héritage spirituel africain qui a été colonisé! Ah oui! Les Africains ont ouvert le yeux!
Attaque de la ville de Lubumbashi par les miliciens: Les effet de la "décentralisation" commencent à se faire sentir au grand dam des politiciens véreux voulant devenir roitelets cheux eux!
In Moscow, new Chinese leader Xi warns against Western interference and meddling.
http://news.yahoo.com/2-moscow-chinese-leader-xi-warns-against-meddling-000838168--finance.html;_ylt=ArmCp603tUdBUKQt9UHG5sK1qHQA;_ylu=X3oDMTQwamNvNHByBG1pdANUb3BpY3MgQ29sbGVjdGlvbiBMaXN0BHBrZwMyN2EwMDdmOS0wMjIzLTMwZGQtODYwYS01ZDdhNzY2OGZiMGEEcG9zAzQEc2VjA3RvcF9zdG9yeQR2ZXIDMmVmOWZjZjEtOTQxNy0xMWUyLWJlZWYtM2JkZjljZGJmY2I0;_ylg=X3oDMTFlamZvM2ZlBGludGwDdXMEbGFuZwNlbi11cwRwc3RhaWQDBHBzdGNhdAMEcHQDc2VjdGlvbnM-;_ylv=3
* Xi says China, Russia ties guarantee global balance
* Warns against foreign meddling in signal to West
* Russia is Xi's first foreign destination as president
* Xi courts Russian students, first lady in audience
By Vladimir Soldatkin
MOSCOW, March 23 (Reuters) - Chinese President Xi Jinping
warned against foreign interference in the affairs of other
nations during a speech in Moscow on Saturday, sending a signal
to the West and echoing a message often repeated by Russian
President Vladimir Putin.
Permanent U.N. Security Council members with veto power,
Russia and China have frequently teamed up diplomatically to
blunt the influence of the United States and its NATO allies and
have blocked three draft resolutions on Syria.
"We must respect the right of each country in the world to
independently choose its path of development and oppose
interference in the internal affairs of other countries," Xi
told students at an international relations school.
He spoke a day after meeting Putin on his first foreign trip
since becoming president, a choice both said underscored a
"strategic partnership" between Russia and China.
In the Kremlin, he told Putin: "you and I are good friends."
Xi told Russian students on Saturday: "Strong
Chinese-Russian relations ... not only answer to our interests
but also serve as an important, reliable guarantee of an
international strategic balance and peace."
Putin, who began a six-year term last May, has often
criticised foreign interference in sovereign states.
Russia and China have resisted Western calls to pressure
Syrian President Bashar al-Assad over the two-year-old civil
conflict that has killed more than 70,000 people in Syria.
They have both criticised the NATO bombing that helped
rebels overthrow Libyan leader Muammar Gaddafi in 2011 and stood
together in the Security Council in votes on the Iranian and
North Korean nuclear programmes.
In a symbolic show of trust, Xi became the first foreign
leader to visit the Russian military command center in Moscow on
Saturday, Russian news agencies reported.
Xi and Russian Defence Minister Sergei Shoigu said the
countries share concerns about U.S. global missile-defence
deployments, Deputy Defence Minister Anatoly Antonov said.
Both China and Russia have also bristled at U.S. and
European criticism of their human rights records.
FRIENDSHIP AND FEAR
Putin said in a foreign policy decree issued at the start of
his new term Russia would counter attempts to use human rights
as a pretext for interference, and his government has cracked
down on foreign-funded non-governmental organisations.
Xi told Prime Minister Dmitry Medvedev his visit had
"surpassed my expectations" and said he had chosen Russia as his
first foreign destination as president to "show the special
importance of our relations."
But economic deals between the world's biggest energy
producer, Russia, and its biggest consumer, China, have been
harder to come by than diplomatic solidarity. Warm words hide
Russian concerns that its far more populous, faster-growing
Asian neighbour could pose a threat.
Xi's visit produced an agreement for Russian state giant
Rosneft to gradually treble oil supplies to China, but
the sides are still short of a deal on the supply of pipeline
gas to China, thwarted for years over prices.
Viktor Yaskov, a student who attended Xi's address, said the
Chinese leader made "a good impression," but expressed fears
about Russia's neighbour. "We're worried about Chinese economic
expansion," he said.
Xi arrived in Moscow with glamorous first lady Peng Liyuan,
prompting speculation about whether Putin's wife Lyudmila, last
seen at a state event last May, would make an appearance.
That did not happen, and Peng kept a low profile after her
first steps off the plane caused an Internet sensation in China.
After Russia, Xi will visit Tanzania, the Republic of Congo
and South Africa, where he and Putin are expected to meet again
at a summit of the BRICS group of emerging economies next week.